Depuis la guerre 1939-1945, des lieux pour enfants perdus
Type de matériel :
TexteLangue : français Détails de publication : 2014.
Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : Lors de la débâcle de mai-juin 1940, de nombreux enfants et adolescents, séparés de leurs familles, sont « égarés ». De nouvelles structures d’accueil, souvent d’initiative privée, voient le jour. Tels les centres d’observation. Effort qui se poursuivra durant l’immédiat après-guerre et les deux décennies suivantes. Dans la plupart de ces internats, l’accent est mis sur une pédagogie de groupe vue comme moyen de socialisation. Un autre courant, très minoritaire, apparaît au début des années 1950 : essayant de combiner les approches de l’éducation nouvelle, de la psychanalyse et de la psychologie de groupe. Les itep sont-ils les lointains héritiers de ces divers mouvements ?
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Lors de la débâcle de mai-juin 1940, de nombreux enfants et adolescents, séparés de leurs familles, sont « égarés ». De nouvelles structures d’accueil, souvent d’initiative privée, voient le jour. Tels les centres d’observation. Effort qui se poursuivra durant l’immédiat après-guerre et les deux décennies suivantes. Dans la plupart de ces internats, l’accent est mis sur une pédagogie de groupe vue comme moyen de socialisation. Un autre courant, très minoritaire, apparaît au début des années 1950 : essayant de combiner les approches de l’éducation nouvelle, de la psychanalyse et de la psychologie de groupe. Les itep sont-ils les lointains héritiers de ces divers mouvements ?
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